Yo vengo aquí
Le chemin a été long pour que Francisco Maximo Repilado Muñoz, de son vrai nom, né en 1907 à Siboney, village de la province d'Oriente, près de Santiago de Cuba. Fils d'un conducteur de locomotives employé de la compagnie des mines, Dés son plus jeune âge, il reçoit des leçons de solfège avant d'intégrer comme clarinettiste la fanfare municipale de Santiago. Et compose à 15 ans sa première chanson : Yo vengo aquí...
Quand Ry cooder débarque à La Havane en 1996 pour mener son projet autour de la musique cubaine, il s'interesse au personnage de Compay Segundo, il en fera le pilier de Buena Vista Social Club un album où sont réunis en autres Rubén Gonzales, Ibrahim Ferrer et Omara portuondo, il faudra ce disque pour que la majorité des cubains apprenne que Compay existe, alors qu'il est acclamé à l'étranger. en 1997 ses chansons commencent à passer à la radio.
Buena Vista Social Club
Quand Ry cooder débarque à La Havane en 1996 pour mener son projet autour de la musique cubaine, il s'interesse au personnage de Compay Segundo, il en fera le pilier de Buena Vista Social Club un album où sont réunis en autres Rubén Gonzales, Ibrahim Ferrer et Omara portuondo, il faudra ce disque pour que la majorité des cubains apprenne que Compay existe, alors qu'il est acclamé à l'étranger. en 97 ses chansons commencent à passer à la radio..
Francisco Maximo Repilado Muñoz
Pourtant le chemin a été long pour que Francisco Maximo Repilado Muñoz, de son vrai nom, né en 1907 à Siboney, village de la province d'Oriente, près de Santiago de Cuba. Fils d'un conducteur de locomotives employé de la compagnie des mines, Dés son plus jeune âge, il reçoit des leçons de solfège avant d'intégrer comme clarinettiste la fanfare municipale de Santiago. Et compose à 15 ans sa première chanson : Yo vengo aquí.
Les héritiers du Buena Vista Social club
Après la disparition de Compay Segundo en Juillet 2003 à l'âge de 95 ans, son fils Salvador Repilado créa avec Hugo Garzon et des musiciens du "Buena Vista Social Club" le " Grupo Compay Segundo " pour faire connaître l'oeuvre léguée par son père.
Le torcedor
Compay Segundo, le Tabaquero
Compay a travaillais dans une manufacture de tabac comme tabaquero, dans toutes les fabriques de cigares de La Havane, un étage est réservé aux rouleurs de cigares - les torcedores, le métier le plus noble qui soit pour un Cubain.
Compay Segundo a longtemps été torcedor sans manquer un seul jour ! " Un Cubain authentique boit du rhum, fume le Habano et a l'oeil qui s'illumine à la vue d'une belle femme "
Alors Compay a fumé. Ça lui a pris en allumant les cigares de "Ma Regina", sa grand mère, une esclave libérée qui vécut jusqu'à 115 ans. pour Compay, le cigare était aussi important que la musique.