Yoel Marrero González
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Photographe : Yoel Marrero González - Fotógrafo Documental - Cuba - Matanzas. Il a choisi le noir et blanc, restant dans une tonalité sombre, personnages vivant au milieu de paysages décrépis, des beaux visages reflètant une vérité sur la vie à Cuba Il expose des autoportraits bouleversants, aux limites de la solitude, il dépeint des jeunes dans leur environnement, en famille et dans des appartements. de très beaux clichés à découvrir.
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Alfredo Sarabia
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Un tout jeune auteur de 25 ans, écorché vif, qui dit sa souffrance dans une tonalité sombre, choisit le noir et blanc pour inventorier les innombrables bustes du poète José Marti, inspirateur de la première révolution dont le pouvoir castriste a fait sa figure de proue. Un héros souvent décrépi, même si on le trouve dans le moindre square, dans la cour des écoles et des collèges de tout le pays, en pierre, en bois, en bronze et maintenant souvent en matière résine ou plastique blanche. Il expose un bouleversant autoportrait, aux limites du désespoir, pour lequel il a marché en photographiant sur le mur d'enceinte du Cementerio de Colon, la plus grande nécropole d'Amérique du sud. D'un côté la ville, de l'autre les morts, entre les deux l'ombre du photographe en équilibre instable.
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Expositions photographiques de Cuba
J'ai eu dans ce pays, la meilleure experience de ma vie ! J'espère que leur situation changera, tout en gardant leur humanité et leur joie de vivre; c'est un peuple enrichissant humainement !
Ils n'arrêtaient pas de nous envier parce qu'on avait tout en France ; Je leur disais qu'ils avaient l'essentiel que nous n'avons plus.
Frédéric Vigneau
L’image se concentre sur les regards, les jeux de lumière, le graphisme, la couleur ne vient pas détourner l’attention, l’émotion traduite y est alors plus forte. C'est une ré-écriture de la réalité qui la transcende. J’ai visité plusieurs pays d’Amérique Latine: Brésil, Bolivie, Mexique et Pérou, ainsi que le Népal; ces voyages m’ont donné l’impression de passer, de voler rapidement les images. Puis un jour; ce fût Cuba, pourquoi Cuba ? Ma passion de la photographie remonte aux années 80 ; j’ai commencé à prendre des clichés en Noir et Blanc dans Paris, au coeur du quartier des halles alors en plein chantier. Le Noir et Blanc m’a parut être un mode d’expression privilégié, plus apte à traduire mes émotions.
Claude Ribeaucourt
Cuba : A la recherche de soleil en janvier, destination Cuba un voyage de trois semaines accompagné d'une charmante jeune femme. Au volant de notre voiture à remonter le temps, l'émotion de traverser des villages, des villes coloniales espagnoles. Rouler avec les américaines des années 50 aux pistons malades et carrosseries grinçantes. Une population chaleureuse et fière qui aime la musique et la danse. Des paysages changeant tout au long du voyage, d'ou l'envie de fixer ces moments rares.