Tito Puente

Le Maître timbalero

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Tito Puente, A man and his music

A man and his music

Le Maître timbalero est resté sur le devant de la scène pendant plus de 50 ans avec cent-vingt disques enregistrés, un mois avant son décès "El Rey" avait inauguré à l'Université interaméricaine de Porto Rico, à San Juan, la "chaire de percussions Tito Puente". Les cubains le reconnaissent officiellement comme un des leurs en l'invitant à Cuba en 1952, pour la célébration des 50 ans de la musique cubaine.

Le Roi du Mambo

Picadillo, début du succès

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Tito Puente Le Roi du Mambo

Picadillo

En 1948, il est avec Joe Loco dans l'orchestre de Pupi Campo. Compose l'un de ses thèmes les plus connus, Picadillo. Son premier ensemble s'appelle The Picadilly Boys, il entamera une relation professionnelle avec le trompettiste Jimmy Frisaura qui durera plus de quarante ans. Depuis Abaniquito, premier succès de son orchestre en 1949, sa musique connait la fusion du jazz et du traditionnel. Il, change aussi pour le vibraphone. Enregistre du jazz ( Take the 'A' Train, Cuban Fantasy ) et des thèmes de Julio Gutiérrez, Chico O'Farrill, "Cachao" et Gilberto Valdés, la crème des auteurs cubains des années cinquante.

Latin Jazz Percussions

Julito Collazo, Francisco Aguabella, Johnny Pacheco, Willie Rodríguez et Ray Barretto

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Tito Puente, Latin Percussions

Percussions cubaines

Au cours de la première décennie, participent à l'orchestre des musiciens de première classe, tels les trombones Eddie Bert et Kai Winding ; les ténors Gustavo Más et "Tata" Palau; les trompettistes Doc Severinsen et "Puchi" Boulong; le flûtiste Alberto Socarrás, et le pianiste et arrangeur Gil López. La formation verra défiler tout ce qui compte et brille dans les percussions : "Chino" Pozo, Manny Oquendo, Mongo Santamaría, Willie Bobo, "Patato" Valdés, Cándido, José Mangual, Julito Collazo, Francisco Aguabella, Johnny Pacheco, Willie Rodríguez et Ray Barretto.

Fania Records

Tito Puente Fania RecordsDans les années cinquante, entame une autre relation étroite, devant durer de longues années, avec le célèbre bassiste de "Machito", Bobby Rodríguez. Des vocalistes comme Vicentico, Alfredito Valdés, Gil Monroig, Santos Colón, "Vitín" Avilés, Yayo "El Indio", Bobby Capó, Rolando Laserie, La Lupe et Celia Cruz, apporteront leur considérable talent à l'orchestre. Ils seront pour beaucoup dans sa côte, et même dans sa survie au temps du rock et du boogaloo des années soixante, puis des synthés dix ans plus tard.

50 ans de musique cubaine

El Rey » Puente va populariser le Cha Cha Cha pendant les années 50

50 ans de musique cubaineDans les années cinquante, il entame une autre relation étroite, devant durer de longues années, avec le célèbre bassiste de "Machito", Bobby Rodríguez. Des vocalistes comme Vicentico, Alfredito Valdés, Gil Monroig, Santos Colón, "Vitín" Avilés, Yayo "El Indio", Bobby Capó, Rolando Laserie, La Lupe et Celia Cruz, apporteront leur considérable talent à l'orchestre. Ils seront pour beaucoup dans sa côte, et même dans sa survie au temps du rock et du boogaloo des années soixante, puis des synthés dix ans plus tard. El Rey. » Puente va populariser le Cha Cha Cha pendant les années 50 et sera l’unique musicien non-cubain invité par le Gouvernement cubain à l’occasion de la cérémonie »50 Years Of Cuban Music » en 1952.


Le violoniste Alfredo de la Fe

La formation tito puente

La formation tito puenteDu LPJE, il adoptera le pianiste Jorge Dalto et le violoniste Alfredo de la Fe. Lors de la maladie de Dalto et du départ subit de De la Fe pour la Colombie, le timbalero entame une autre collaboration durable avec le pianiste Sonny Bravo. Les habitués de la nouvelle formation sont Mario Rivera, Piro Rodríguez et les percussionnistes "Dandy" Rodríguez et José Madera. Pour ses enregistrements pour la Concord Picante, il comptera sur des invités de luxe, comme Maynard Ferguson, Terry Gibbs, Phil Woods et George Shearing.


Puente in Percussion

Rythmique afro-cubaine

Puente in PercussionPuente fera date dans la rythmique afro-cubaine avec sa trilogie de percussions : Puente in Percussion (1955), Top Percussion (1957) et Tambó (1960). En 1958, alors que "Machito" enregistre avec Herbie Mann, le vibraphoniste élargit son domaine avec Woody Herman, ainsi qu'avec Charlie Byrd. En 1992, antichambre de sa septième décennie, Puente crée sa formation définitive, les Golden Latin Jazz All-Stars, qui lui permettra des échanges avec des piliers du jazz latino d'aujourd'hui, tels Hilton Ruiz, Dave Valentin, Charlie Sepúlveda, Andy González, Ignacio Berroa, Giovanni Hidalgo. armi les morceaux que le timbalero dédiera à ses références musicales figurent Machito Forever (1987) et Ode to Cachao (1989). Même quand il intervient au vibraphone ou à la marimba, tout dans sa musique, y compris les percussions, est fait en fonction du swing. Tito Puente restera un show man complet.