Musiques de Cuba

Albums à redécouvrir

CubalatinaCubalatina
eliades-ochoa

Albums : World, Salsa, Musiques latines, Reggaeton...

On dit que dans l'île, on parle en chantant, on danse quand on marche et on fait la cour avec les paroles d'une chanson...

Havana-Paris-Dakar : Alune Wade et Harold López-Nussa

Havana-Paris-Dakar, Alune Wade et Harold López-NussaCette rencontre entre le brillant nomade de la musique sénégalaise et le prodige du piano cubain est le reflet d'une aventure stimulante. Les rythmes sont solaires, les mélodies pulsent, et au fil des morceaux qui passent par le cha-cha-cha, la rumba, la salsa et même le chaâbi, l'Afrique se colore de cubanité et de jazz latin. Entourés de partenaires de haut vol, les deux leaders écrivent un nouveau chapitre dans l'histoire déjà riche des échanges musicaux.

Tissage transatlantique

Les musiciens sont par nature des individus qui ne tiennent pas en place. Toujours prompts à faire un pas de côté quand, dans l’éphémère d’une rencontre, ils pressentent une stimulante aventure musicale.

Harold López-Nussa

Havana-Paris-Dakar confirme qu’il y avait comme une évidente nécessité à ces retrouvailles. Solaire et swinguant trait d’union entre l’Afrique et Cuba, leur album commun ravira autant les fondus de piano jazz que les enchantés d’Afrique.

Alune Wade

Alune Wade est Sénégalais mais son étoile est partout. Il sait ce qu’il doit à la terre des siens mais il a fondamentalement l’esprit nomade. S’il a un jour jeté son ancre à Paris, c’était pour y croiser tous les mondes avec sa basse. Sa musique scintille de ses désirs d’ouverture, accueillante et chaleureuse, fluide et rayonnante, elle dit sa différence. Après son premier album solo « Mbolo », puis « Ayo Nene » le second finalisé en 2011 mais resté inédit, il avait une autre idée en tête, qu'il a toujours gardé présente au milieu de ses collaborations qui ont fait monter en puissance sa notoriété au fil des années (il fut successivement bassiste d'Ismaël Lô, d'Oumou Sangaré, de Josef Zawinul, du groupe Deep Forest et plus récemment de Marcus Miller pour son projet "Afrodeezia").


Abelardo Barroso

Tradition cubaine et cha-cha-cha

Abelardo Barroso, cha-cha-chaSurnommé le Caruso cubain dans les années 1920, Abelardo Barroso (1905-1972) a fait son come-back dans les années 1950 grâce au cha-cha-cha, une guinche suave dérivée du mambo qui explosa en cet âge d'or de la musique cubaine. Au sein de l'orchestre de Rolando Valdés, il en devint une figure culte, célébrée aujourd'hui par une compilation.

Entre cha-cha-cha et boléro, rumba et danzón

Sa voix de rossignol déferle en roucoulades majestueuses, portée par des violons ensorceleurs et des flûtes exubérantes qui procurent des bouffées de bonheur vintage. En réenregistrant Magia negra , son premier disque solo, sorti en 1958, Omara Portuondo a tiré sur la même corde nostalgique : la diva octogénaire y remet au goût du jour de vieux classiques, signés Adolfo Guzmán ou Gilberto Valdés, avec des musiciens de la nouvelle génération.


Cha-cha-cha d' Abelardo Barroso | 1 CD World Circuit/ Harmonia Mundi - Découvrez l'Album : Cha Cha Cha


La Mecánica del porro

Cumbia ya!, la mecánica del porroNourris par le jazz du début de siècle et fidèles à l’héritage du grand compositeur Lucho Bermúdez, les musiciens de cet ensemble ont su malaxer la tradition d’antan pour nous offrir un résultat moderne et actuel aux douces saveurs d’autrefois. Rares sont les formations européennes qui ont acquis le renom de Cumbia Ya!, « La Mecánica del Porro » est un dernier hommage aux perles rares qui ont su constituer la colonne vertébrale des concerts de Cumbia Ya! durant toutes ces années. Une photo instantanée du répertoire qui a consolidé la renommée de cet orchestre devenu un classique de la musique colombienne dans le monde.

Cumbia ya! Découvrez l'Album : La Mecanica Del Porro


Paquito D'Rivera, entre Cuba et le Brésil

Song for Maura

Paquito D'Rivera, Song for MauraSong for Maura" de Paquito D'Rivera est un hommage à sa mère et à son profond dévouement. Le clarinettiste et saxophoniste cubain n'a jamais caché son engouement pour le Brésil. Depuis son arrivée aux Etats-Unis, il s'est fait un point d'honneur de collaborer avec des musiciens brésiliens de tous bords, que ce soient les figures du jazz brésilien ou de la musique populaire. Sur "Song for Maura" il est accompagné par un trio de jazz contemporain de Sao Paulo, le Trio Corrente.


Border Free

Chucho Valdes

Chucho Valdes, Border freeIl se présente comme la synthèse de ses influences passées, classiques, jazz, cubaines, arabo-andalouse, flamenco, etc. Ainsi le génial pianiste et compositeur rend t-il hommage à sa mère Pilar, à son père Bebo, à sa grand-mère Caridad Amaro citant Rachmaninov, Bach et Miles Davis.
Mais l'originalité est sans nul doute Afro-Comanche, savante construction où convergent chants yoruba et mélopées aborigènes. Pour ne pas oublier qu'au XIXième siècle, 700 indiens comanches furent déportés à Cuba. Leur musique fait donc aussi partie des gènes de la musique cubaine. Cela explique cette merveilleuse coiffe indienne qu'arbore Chucho sur la pochette de ce Border free. Branford Marsalis rejoint les Afro-Cuban Messengers sur trois titres.


Staff Benda Bilili

Bouger le monde

Staff Benda Bilili, Bouger le mondeLe Staff Benda Bilili vient d'achever l'enregistrement d'un nouvel album intitulé "Bouger le monde". L'album témoigne à la fois de la spectaculaire évolution du groupe, et de sa volonté de continuer à faire. bouger le monde !


Los Van Van : La Maquinaria

Los Van Van, La MaquinariaPresque deux ans après la sortie de “Arrasando“, Juan Formell est de retour avec cet album intitulé “La Maquinaria” et ses deux titres phares: “Final” et “Mis Santos son Ustedes“, sans oublier les nouvelle versions très réussies des classiques “Eso que anda” et “Recibeme”. Juan Formell, fondateur du groupe, expliquait que le but était « d’offrir une rétrospective du parcours du groupe et de récupérer une sonorité initiale ». l’album réunit ainsi des thèmes inédits en actualisant d’anciens tubes comme Recíbeme et Eso que anda.
- Juan Formell a fondé Los Van Van en 1969 avec un autre membre de l'orchestre d'Elio Reve, un pianiste appelé Cesar « Pupy » Pedroso. Il demeure le leader du groupe, le nom était à l’origine un jeu de mots sur la campagne du gouvernement cubain visant à stimuler le rendement de la canne à sucre du pays « ¡Los diez millones van! »,
- La couverture du disque est réalisée par l’illustrateur cubain Alexis Díaz, connu aussi sous le prénom de Kcho.


Rodrigo y Gabriela : Area 52 avec C.U.B.A

Rodrigo y GabrielaLe duo mexicain est un des gros cartons de ces dernières années. Venus du métal, Rodrigo y Gabriela fusionnent, à la guitare acoustique, flamenco, rock et sonorités latinos. Le dernier coup de foudre est la musique cubaine. Ils arrivent avec un nouvel album enregistré à La Havane où leurs guitares fusionnent avec les percussions. De quoi élargir encore la palette sonore de leur répertoire déjà riche.
Rodrigo y Gabriela sont donc de retour avec un nouvel album " Area 52 " qui c’est fait attendre six ans. Ils ont pris un virage artistique, fini le simple duo de guitares acoustiques, les voilà maintenant entourés d’un orchestre cubain, nommé simplement C.U.B.A. composé des 13 meilleurs jeunes musiciens de la Havane.


Son del salón : El Hombre Más Feliz

Son del salón, El Hombre Más FelizSon del salón voit le jour au début de l'année 2009, à l'initiative du chanteur cubain Julio David López Pérez et du percussionniste Thibaut Chipot, rapidement rejoints par Anthony "el niño" Hocquard (tres) et Ken Chikaoui (basse). Les quatre musiciens, animés d'une passion commune pour la musique cubaine, s'intéressent tout particulièrement à la beauté du son cubano. Généreux et exaltés, ils vont de scène en scène en s'appuyant d'abord sur un répertoire de reprises des grands classiques cubains. Alors que les liens d'amitié grandissent entre les membres du groupe, les premières compositions ne se font pas attendre, et le projet d'enregistrer un premier album apparait comme une évidence. En intégrant le percussionniste Hervé "El Bucheron" Jacqmin et le trompettiste Julien Hornberger, Son del Salón s'ouvre de nouvelles possibilités de compositions et d'arrangements. Le désormais sextet sort en 2010 un premier album singulier, original et respectueux de la tradition qui l'inspire, sous le label Smash. En 2011, Son del Salón part à Cuba s'imprégner de culture cubaine, Invité par les organisateurs du festival Cubadisco, le combo franco-cubain y voit une marque de reconnaissance forte et encourageante. plus actuel et avec des accents pop, le deuxième album de Son del Salón, El Hombre Más Feliz.


Bamboleate, Eddie Palmieri & Cal T'jader

Bamboleate, Eddie Palmieri & Cal T'jaderQuand le Jazz rencontre la Salsa, Cet enregistrement de 1967 nous ramène au temps du vinyl. Eddie Palmieri tout jeune portoricain influencé par les rythmes de son ile, avec Cal T'Jader qui déjà survolait le latin jazz, nouvelle musique née dans les années 60. Réunir ces deux pianistes de génie n'a pas été chose facile. Eddie musicien des villes de l'est des Etats Unis (New york, Chicago, Floride, Puerto Rico) tandis que Cal jouait à l'ouest (Californie, Nevada). Leur musique était différente et leur maison de disque aussi. Mais une fois les difficultés aplanies, les génies se sont mis au travail et il en resort une oeuvre qui n'avait jamais été gravée, avec un son spécial. Il en résulte un album d’une grande qualité musicale.

A redécouvrir : Bamboleate - 2002. Enregistrement 1967. | Bamboleate Eddie Palmieri & Cal T'jader


Buena Vista Social Club, 25th Anniversary Edition

25th Anniversary EditionCélébration du 25eme anniversaire de l’album Buena Vista Social Club, World Circuit présente la réédition Buena Vista Social Club, 25th Anniversary avec un morceau inédit Vicenta isssu du duo Compay Segundo et Eliades Ochoa. Retrouvez les all-stars du Buena Vista : Ibrahim Ferrer, Rubén González, Cachaíto López, Guajiro Mirabal, Eliades Ochoa, Omara Portuondo & Compay Segundo. L’album originel du Buena Vista Social Club fut enregistré en 1996 pour le label World Circuit par Ry Cooder en sept jours à La Havane. Cette session réunissait beaucoup des grands noms de l’âge d’or de la musique cubaine des années 50. L’album connut un retentissant succès inattendu, au point de devenir l’album le plus célèbre de l'histoire de la musique cubaine.


Casa de la Trova

Casa de la TrovaLes chansons de la Casa de la Trova vénérable institution cubaine. Un disque à posséder impérativement, avec les soeurs Faez.


Vieja Trova Santiaguera

Vieja Trova SantiagueraCes 5 grands pères enregistrent un premier album, leur répertoire est celui qu'on entend à la Casa de la Trova, leur entrain et leur malice sont irrésistibles.